Pour faire lire les francophones aussi et leur dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité……
Ali, ya Ali,
Je n’ai jamais voulu commenter les sottises que tu publies, étant intimement convaincue que personne ne peut prendre réellement ce que tu dis au sérieux!
Mais aujourd’hui, j’ai décidé d’apporter ce témoignage :
J’ai été le témoin oculaire de certaines de tes péripéties, aussi drôles qu’affligeantes les une que les autres. Alors laisse moi t’en rappeler quelques unes, en espérant que ça puisse te refroidir la tête et activer ta mémoire s’il t’en reste une après toutes ces années.
Ali ya Ali, quand j’ai travaillé avec toi à “Demain Magazine” en 2002, j’appréciais énormément ton tempérament rebelle … et puis j’ai compris et à ce moment j’ai commencé à avoir pitié de toi.
Au début, coome tout le mondiale a l’epoque d’ailleurs, je n’avais pas du tout décelé les nombreux symptômes de paranoïa, qui t’affectais de manière chronique.
Ce n’est qu’un peu plus tard, que je me suis rendu compte que tu vivais dans un monde parallèle, un monde de délires et de fantasmes insensés.
J’ai pu constater, à plusieurs reprises, comment tu prenais tes décisions sur un coup de tête inopiné et irréfléchi…
Par exemple comment, à deux heures du matin, et dans un état second et d’excitation, un état second, tu demandais à la rédaction, de remodeler la une du magazine, dans l’espoir de faire le buzz par une censure, ou même une interdiction des autorités.
Ou comment, dans le bureau que nous partagions à l’époque, tu n’arrêtais pas de te contorsionner obséquieusement, en faisant un tas d’acrobaties ridicules, à chaque fois que tu recevais les appels téléphoniques de Basri, pour ensuite venir te bomber le torse devant les autres journalistes, comme si tu venais de parler au pape.
Ou bien, comment tu as manigancé l’éviction des actionnaires de Demain Magazine, pour en prendre le contrôle, en allant jusqu’à les menaçer de révéler sur leur compte des histoires abracadabrantesques …dont tu nous faisais part, en changeant toutes les 5 minutes de version.
Ali ya Ali, j’ai aussi assisté à tes crises d’hystérie incontrôlables, que tu piquais sans prévenir, et où, entre tes bégayements et tes cris stridents, on avait du mal à saisir le sujet de cette colère, que tu exprimais violemment en frappant des grands coups de poing sur ton bureau, ou en faisant voltiger les chaises autour de toi.
Je n’ai jamais compris pourquoi tout le monde persiste à faire semblant d’ignorer que tu es un cas pathologique, qui a sérieusement besoin d’être pris en main pour remédier à tes troubles émotionnels.
Je ne suis jamais arrivé à cerner les complexes qui te taraudent et qui torturent les profondeurs de ton âme , mais ton cas m’a rappelé la saga de Netflix, que toi et tes amis ont scénarisé de toute pièce, à propos d’une prétendue “victime de la police politique”, mais qui selon une source très crédible, souffre, en réalité, depuis sa tendre enfance d’un profond traumatisme, après avoir surpris sa mère en plein adultère…
Ali ya Ali, il faudrait que tu arrêtes les dégâts et que tu t’occupes de toute urgence de ta santé mentale en consultant un bon médecin. C’est le seul moyen pour que tu puisse venir à bout de tous tes tourment intérieurs…Essaies de faire ton introspection pour comprendre la cruauté destructrice qui sommeille en toi…J’ai la certitude que tout ce que tu fais n’est rien d’autre que l’expression des symptômes de tes troubles mentaux, dont tu es le seul à en connaître la véritable origine… Et je ne crois pas que tu en sois la seule cause.
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